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mercredi, 13 février 2008

Paris aura de nouvelles mosquées...

ff5565623ae2f115b96f495d0d66f7da.jpgCeci arrivera malheureusement « quoiqu’il arrive». En effet, sauf surprise majeure, le PS ou l’UMP devraient l’emporter.

Françoise de Panafieu, chef de file de l’UMP parisiano-cosmopolite, s’est déclarée sur France 2 favorable à la construction de nouvelles mosquées.

Ces propos ont outré Anne Hidalgo, porte-parole du cyclo-cosmopolite maire de Paris, qui a précisé que « c’est l’actuelle municipalité qui a débloqué deux projets de construction de mosquée ». (...)

Au final, le financement s’élèvera à 14 millions d’euros, dont 10 millions de financement municipal. Seuls 4 petits millions seront à la charge de la communauté musulmane.

Pendant que l’UMP et le PS se disputent la paternité de l’islamisation de Paris intra-muros, aux frais des contribuables, les loyers continuent à rester scandaleusement élevés et les sans-abri sont toujours plus nombreux à prendre un bol de soupe populaire, sous l’œil des CRS lorsqu’il y a un peu de porc dans la marmite.

LeBerlioz pour Novopress

mardi, 12 février 2008

Revue de presse : JUPPE SOMME DE S'EXPLIQUER SUR LE PROJET DE GRANDE MOSQUEE A BORDEAUX...

Source : Minute du 30 janvier dernier

 

929dbd0226abef80deef7828d446447e.jpgOù en est le projet de « mosquée cathédrale » de Bordeaux ? En 2005, la municipalité, alors dirigée par Hugues Martin, s’était montrée disposée à accorder un bail emphytéotique à l’Association de Musulmans de Gironde pour l’édification d’une mosquée pouvant accueillir 2 000 personnes ! Ayant retrouvé son fauteuil de maire après son exil canadien, Alain Juppé n’y avait rien trouvé à redire. Et aujourd’hui ? Alors que la campagne électorale bat son plein, le sujet est évidemment tabou et, de tous les candidats en lice, il n’y a que Jacques Colombier, tête de liste Front national, pour s’en inquiéter.

 

Fabrice Sorlin, président de l’association Dies Irae, vient donc d’écrire à Alain Juppé pour se faire le porte-parole d’« une partie non négligeable de votre fidèle électorat », celui que le maire a un peu tendance à négliger au profit des centristes. Lui rappelant que l’association porteuse du projet est très proche des fondamentalistes de l’UOIF, il écrit :« Vos électeurs s’interrogent […] sur l’attitude d’un maire participant à l’islamisation de la ville […] Une déclaration d’opposition rapide, ferme et publique de votre part permettrait de lever tous les doutes. »

 

Faute de quoi ? Dies Irae le prévient que, faute de réponse au 25 février, 20 000 tracts détaillant le projet qui doit s’étendre sur 5 hectares seront distribués dans les boites aux lettres bordelaises. Et, comme la devise de l’association, capable de mobiliser plusieurs dizaines de militants à Bordeaux, est « La Pureté dans nos cœurs, la Vérité sur nos lèvres, la Force dans nos bras », la menace n’est pas à prendre à la légère.

Saine réaction des Jeunesses identitaires en Savoie...

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Afin de protester contre la construction de mosquées dans leurs deux départements, les Jeunes identitaires de Savoie ont édité des auto-collants et des tracts qu'ils diffusent actuellement. Les JI Savoie sont ainsi à la pointe du combat contre l'islamisation. Un exemple à suivre...

lundi, 11 février 2008

Lors du colloque de Synthèse nationale : LANCEMENT EN FRANCE DE LA CAMPAGNE " LES VILLES CONTRE L'ISLAMISATION"...

6b4a8949dab93e377eb70b67232f4d80.jpgRamener l’islamisation des villes de France au cœur de la campagne pour les élections municipales, tel était l’objectif du colloque organisé samedi 2 février à Paris par Synthèse nationale.

Devant 220 participants, parmi lesquels nous notions la présence de l’ancien député de l’Oise Pierre Descaves, de la députée flamande Hilde De Lobel, de Tim Rait, haut responsable du British National Party, venu spécialement de Londres pour assister à cette réunion, du Docteur Xavier Dor, de plusieurs conseillers régionaux du Front national, de nombreux élus municipaux et de candidats nationaux et identitaires aux municipales, les orateurs qui se sont succédés à la tribune ont abordé à la fois l’historique de ce phénomène, sa dimension dramatique et ethnocide et les solutions pour le combattre.

Ainsi, Bernard Antony, Président de Chrétienté solidarité, nous a magnifiquement brossé le vrai visage de l’islam conquérant en démontant les mécanismes mensongers de ceux qui essaient de nous faire croire que l’islam serait une religion d’amour et de tolérance. Il nous rappela que l’islam est aujourd’hui plus dangereux pour notre civilisation que le fut le communisme hier.

Lui succéda Nicolas Tandler, écrivain et journaliste, qui écrit régulièrement dans notre revue. Celui-ci évoqua, avec la précision que nous lui connaissons, la collaboration entre certains syndicats et l’islamisation dans le monde du travail.

Patricia Vayssière, courageuse conseillère municipale MNR de Montreuil, fut ovationnée par l’assistance lorsqu’elle expliqua comment elle a réussi à faire annuler la subvention accordée par la municipalité communiste de sa ville pour la construction d’une grande mosquée. Elle encouragea, en leur donnant le mode d’emploi, tous ceux qui ne veulent pas voir surgir un minaret dans leur ville à en faire autant.

La première partie de ce colloque se termina par l’intervention de notre amie Odile Bonnivard, porte-parole de Solidarité des Français, qui nous rappela, avec réalisme, qu’un Congolais, fût-il de nationalité française et parfaitement intégré dans la société, ne fera jamais pour autant un véritable Européen. De la même manière qu’un Européen qui vit en Afrique ne sera jamais un Africain.

Après une pause au cours de laquelle les participants purent visiter les stands et se fournir en livres et revues, la seconde partie du colloque débuta par l’exposé remarquable de Jean-Claude Rolinat, qui se livra à un état fort détaillé et alarmant de l’enracinement de l’islam dans le monde et de l’expansion de celui-ci en Europe.

Martin Peltier, dont le talent de polémiste n’est plus à démontrer, mit une note d’humour digne de Marcel Aymé pour désigner les vrais responsables de l’islamisation de la France et de l’Europe.

Jean-François Touzé, conseiller régional d’Ile-de-France et président du Club Convergences nationales, appela au rassemblement de toutes les énergies dans le nécessaire combat politique pour que la France redevienne la France et que l’Europe reste européenne. Il conclut en citant la fameuse réplique du Général de Castelnau, « Il faut que Verdun tienne, donc Verdun tiendra ». CQFD.

Robert Spieler, Président d’Alsace d’abord et candidat à la mairie de Strasbourg, appela à la résistance nationale, identitaire et européenne. Il présenta au public parisien la vaste campagne européenne lancée le 17 janvier dernier à Anvers à l’initiative de Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang, contre l’islamisation de nos villes. En organisant ce colloque, Synthèse nationale donne le coup d’envoi de cette campagne en France.

Après avoir passé la parole à Myriam Baeckeroot, conseillère régionale d’Ile-de-France et initiatrice du Comité pour le respect du NON français, qui expliqua, deux jours avant la ratification du Traité de Lisbonne, le sens de son combat, Roland Hélie conclut cette journée en rappelant l’esprit unitaire qui anime Synthèse nationale et en insistant sur la nécessité absolue de faire de la lutte contre l’islamisation le fer de lance de la résistance identitaire.

Les actes de ce colloque seront publiés dans la prochaine livraison de Synthèse nationale.

 

LANCEMENT A ANVERS DE LA CAMPAGNE EUROPEENNE CONTRE L'ISLAMISATION DE NOS VILLES...

36ab3dc4907ccaa6aca8e71d53f1f86b.jpgJeudi 17 janvier, s’est tenue à Anvers, en Flandre, la réunion constitutive de l’organisation européenne « Les villes contre l’islamisation ».

 

Plusieurs mouvements nationaux et identitaires européens, à l’initiative de Filip Dewinter, député d’Anvers et porte-parole du Vlaams Belang, ont décidé de créer cette structure commune afin de renforcer et de coordonner leur lutte contre l’islamisation de nos villes.

 

Parmi les fondateurs, figurent le FPÖ (Autriche), représenté par son Président Heinz Strache ; Krake Rolf du Danemark, qui a lancé des initiatives populaires contre l’islamisation de son pays ; Henrique Ravelo, Président espagnol de Tierra y Pueblo ; Adriana Bolchini, d’Italie, ancienne proche de Oriana Fallaci et responsable d’une association anti-islamique ; Markus Wiener-Wolter, dirigeant de Pro Köln, association citoyenne très puissamment implantée à Cologne et farouchement opposée à l’implantation de mosquées-cathédrales dans Cologne.

 

Robert Spieler figure également parmi les fondateurs de l’association et entendait représenter tous ceux qui, qu’ils soient nationalistes, régionalistes ou identitaires, sont résolus à ce que l’Alsace et la France ne deviennent jamais terre d’Islam.

 

Après la conférence de presse, les membres fondateurs de l’association se sont retrouvés devant la mairie d’Anvers en brandissant des panneaux représentant une mosquée géante dans un cercle rouge barré.

 

Dans l’après-midi, visite sous protection policière du quartier du nord d’Anvers, totalement islamisé. Edifiant et significatif de ce que l’on peut attendre dans les prochaines décennies…

 

Dans la soirée, grande réception avec les militants et les élus d’Anvers du Vlaams Belang : 800 personnes.

 

L’association « Les villes contre l’islamisation » va organiser dans les prochaines semaines de nombreuses réunions de sensibilisation face à la menace islamique, partout en Europe.

 

La première de ces réunions aura lieu le samedi 2 février à Paris sous l’égide de la revue et de l’association Synthèse Nationale, dirigée par Roland Hélie.

 

Robert Spieler et Hilde De Lobel, députée du Vlaams Belang, seront présents lors de cette réunion et présenteront au public les objectifs de cette initiative.

dimanche, 10 février 2008

Revue de presse : Les partis d’extrême-droite contre "l’islamisation des villes"

L’islam divise l’extrême-droite européenne. Alors que Marine Le pen débat avec Tariq Ramadan et que des groupes radicaux, dont le NPD allemand, appuient le Hamas ou l’Iran par antisionisme, plusieurs formations politiques nationalistes et xénophobes se sont réunies à Anvers le 18 janvier pour lancer le mouvement "Les villes contre l’islamisation".
Celui-ci est dirigé par Filip Dewinter, le président du parti indépendantiste flamand Vlaams Belang; Hans-Christian Strache, président du FPÖ autrichien; l’avocat Markus Beisicht, du mouvement allemand Pro-Köln et Robert Spieler, un ancien député FN, désormais président du mouvement régionaliste "Alsace d'Abord".
D’autres partis étaient également présents, dont les Republikaner allemands, représentés par leur président, Uschi Winkelsett, ainsi que des groupes italien, danois, néerlandais et espagnol.
"Congrès anti-islamisation"
A l’initiative de Pro-Köln, qui a des conseillers municipaux dans la quatrième cité d’Allemagne, un grand "congrès anti-islamisation" est envisagé au printemps 2008. D’ici là, plusieurs manifestations seront organisées à Rotterdam, Paris, Londres et Madrid. D’ailleurs, le 2 février à Paris, Robert Spieler expliquera la démarche du mouvement lors du colloque organisé par la revue Synthèse nationale sur le thème: "Face à l’islamisation de nos villes: la réponse nationale et identitaire".
Cette publication trimestrielle rassemble des cadres d’extrême-droite, en particulier du Front national, opposés à la démarche de Marine Le Pen. Spieler lui-même, dirigera, aux élections municipales, "une vraie liste de droite", qui fera du "refus de l’islamisation de Strasbourg et de l’Alsace" son thème de campagne, et qui fera concurrence à la liste frontiste.
Un nouveau fonds de commerce
Le thème de l’islamisation de l’Europe fait recette à l’extrême- droite. Rien d’étonnant, nous dira-t-on, de la part de partis qui font de la lutte contre l’immigration, surtout africaine, turque et maghrébine, leur fonds de commerce. Sauf que jusqu’au 11 septembre 2001, cette phobie anti-immigrés était surtout de nature culturelle et raciste et utilisait peu la peur de l’islam en tant que religion.
Désormais, ce thème est mis en avant par deux catégories de partis. Tout d’abord, des formations d’extrême-droite dites "identitaires" et qui défendent une vision de l’Europe fondée sur la blancheur de la peau et les racines chrétiennes. Ensuite, des partis situés à la charnière de la droite et de l’extrême-droite comme le Mouvement pour la France, de Philippe de Villiers; l’UDC suisse; le Parti du Progrès norvégien et surtout le Parti de la Liberté, qui est entré en fanfare au Parlement néerlandais en 2006 et dont le leader, Geert Wilders, est l’homme le plus médiatique (et le plus controversé) du pays.
Ces deux familles politiques ont en commun de s’opposer, non pas à l’islamisme mais à l’islam lui-même. Elles le considèrent comme radicalement incompatible avec la vie sur le sol européen et multiplient les demandes provocatrices: Geert Wilders veut interdire la vente du Coran, qu’il compare à "Mein Kampf". Surtout, elles focalisent tellement sur l’islam qu’elles en oublient le vieux fonds antisémite de l’extrême-droite.
Alliance "avec les sionistes"
Le Vlaams Belang "drague" ouvertement l’importante communauté juive d’Anvers. Le livre "La Nouvelle question juive", publié en 2007 par Guillaume Faye, ancien intellectuel organique de la Nouvelle droite française, favorable à une alliance "avec les sionistes" contre l’islamisation, remporte un certain succès. Les partis islamophobes issus de la droite conservatrice tiennent pour leur part un discours ouvertement pro-israélien qui rencontre un écho à Jérusalem: une délégation du Parti de la Liberté, dirigée par Wilders, s’y est rendue début janvier et a été reçue par le vice-premier ministre Haïm Ramon ainsi que par le dirigeant du parti Israel Betainou, Avigdor Liberman, favorable au "transfert" des Palestiniens vers la Jordanie.
Le créneau de l’anti-islamisation était occupé jusqu’ici, à l’extrême-droite, par une autre structure transnationale, "Stop à l’Islamisation de l’Europe" (SIOE), qui a organisé à Marseille, le 8 décembre 2007, une manifestation devant le Centre méditerranéen du commerce international, pour protester contre le projet de construction d’une grande mosquée dans la cité phocéenne. Moins de 100 personnes y étaient venues, qui ont pu entendre une allocution de Bruno Mégret, le président du Mouvement national républicain, parti en campagne municipale. Dirigée par un danois, Anders Gravers, qui affirme "Nous ne croyons pas en le concept de 'musulmans modérés'", SIOE manifestera pour sa part à Amsterdam, le 26 janvier, sur le thème "Trop c’est trop: arrêtons l’islamisation de la Hollande".
Un des enjeux des prochains mois sera donc de voir si les deux mouvements finiront par unifier leurs démarches.
NDLR : Nous laissons M. Camus libre de ses interprétations...

La Charte de la campagne "Les villes contre l'islamisation" :

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Voici le texte de la charte “Villes Contre l’Islamisation” tel qu'il a été adopté le 17 janvier à Anvers lors de la réunion de lancement de la campagne européenne :

Les organisations participantes créent, avec cette charte, un réseau de villes “Villes Contre l’Islamisation”.

Constatations :

“Villes Contre l’Islamisation” constate que, depuis la Renaissance, le monde occidental, en général, et l’Europe, en particulier, ont rejeté les dogmes religieux et les normes qui en découlaient et les ont remplacés par des principes et des règles de droit découlant d’une multitude de sources: l'antiquité ancienne, les valeurs judéo-chrétiennes, l'humanisme, les idées du Siècle des Lumières, le nationalisme, le libéralisme...

Suite à cette évolution, notre civilisation se caractérise maintenant par le respect des libertés et des droits fondamentaux. Cette civilisation est désormais basée sur des valeurs comme la séparation de l'Église et de l’État, la démocratie, la liberté d’expression, l’égalité de l'homme et de la femme...

Néanmoins, au début du 21ème siècle, les villes d'Europe occidentale, en raison d’une politique d'immigration trop laxiste menée par les autorités à tous les niveaux, se trouvent confrontées à des minorités islamiques numériquement importantes, peu intégrées, concentrées dans des ghettos sans cesse en extension.

“Villes Contre l’Islamisation” constate que l'islam n’est pas seulement une religion, qu’il préconise encore un ordre social basé sur la sharia (la législation islamique, résultant du Coran et des hadith) et la prééminence de l’ouma (la communauté des musulmans), ce qui est totalement antinomiques avec les valeurs et les normes propres à notre société européenne.

“Villes Contre l’Islamisation” constate également que certains musulmans placent les lois divines islamiques au dessus des lois civiles. Il existe en outre, parmi les populations musulmanes, une tendance à la radicalisation qui se manifeste par une animosité croissante à l’encontre de notre civilisation occidentale et des valeurs qui la fondent.

Les mosquées fonctionnent comme catalyseurs de l’islamisation des quartiers urbains, elles insistent, de toute leur autorité au sein de la communauté musulmane, sur l’exigence d’une pratique stricte de l'islam, ce qui contribue à freiner l'intégration de ces minorités musulmanes.

Les points de départ :

“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'idéologie multiculturelle, selon laquelle les musulmans résidant chez nous pourraient introduire leurs propres valeurs dans la vie publique, ce qui mène de facto à l'institutionnalisation de l’islam.

“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'institutionnalisation de l'islam, contre la reconnaissance des mosquées, l’octroi de subventions aux associations islamiques, aux écoles coraniques et aux mosquées, et de subsides aux imams... L'institutionnalisation de l'islam conduit en effet à la création d’un verrou fermant l’accès à l'intégration de la communauté musulmane.

“Villes Contre l’Islamisation” vise l'indulgence des responsables politiques pour l'islam, ce qui amène à écarter les valeurs et normes occidentales au profit des us et coutumes islamiques, lesquels sont souvent incompatibles avec les nôtres et nos mœurs.

“Villes Contre l’Islamisation” croit que la liberté de pratiquer la religion individuellement et librement doit être garantie y compris en ce qui concerne l'islam. Toutefois, la liberté religieuse ne doit jamais permettre la généralisation ou l'introduction de conduites discriminatoires ou anti-démocratiques. “Villes Contre l’Islamisation” se bat donc avec vigueur contre l'introduction de la sharia à la place des règles de droit en vigueur en Europe.

Initiatives :

L’islamisation n’est pas un problème local. Il s'agit en effet d’un phénomène qui se présente dans presque tous les pays et villes de l'Europe occidentale. La progression démographique rapide de la population islamique vivant en Occident conduira, dans quelques décennies, plusieurs villes d'Europe occidentale à être confrontées à des majorités islamiques.

Pour cette raison, les organisations participantes s'engagent à coordonner leurs initiatives, prises en vue de s’opposer à l’islamisation, à combattre ensemble et à échanger leurs informations, ceci dans la perspective d’améliorer leur combat et de coordonner leur lutte contre l’islamisation des villes d'Europe occidentale.